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Le comte de Paris face aux épreuves de la Nation

La France s’enlise. Colère dans la rue, institutions fragilisées, dette record, société fragmentée : notre pays traverse une crise profonde. Dans ce climat explosif, une voix inattendue s’élève, celle de Jean d’Orléans, comte de Paris et prétendant au trône. Loin de se contenter d’un rôle symbolique, il appelle les Français à « se réveiller » et plaide une nouvelle fois pour un retour à la stabilité qu’incarnerait, selon lui, la monarchie.

La France tremble. Dans la rue, la colère gronde. Le gouvernement chancelle sous la pression de manifestations massives. Et, au-dessus de ce tumulte, une voix inhabituelle se fait entendre : celle du comte de Paris, Jean d’Orléans, 60 ans, prétendant au trône de France.

Jean d’Orléans fait un constat navrant de la situation

Le prince n’y va pas par quatre chemins. Si notre pays est à genoux, c’est d’abord la faute de ses dirigeants. Trente années de mauvais choix ont miné nos institutions, vidé nos caisses et sapé notre cohésion nationale, déclare t-il dans un communiqué publié sur son site officiel, le 17 septembre 2025.

Le quinquennat ? « Une erreur », tranche-t-il, qui a transformé la Ve République en machine instable : neuf gouvernements en huit ans, un record de fragilité. L’économie ? Un champ de ruines. La dette explose, les finances publiques dérapent, l’indépendance énergétique a été sacrifiée. EDF bradée, Alstom abandonnée, le nucléaire sacrifié. Nos PME, cœur battant du pays, suffoquent sous un déluge de normes absurdes. Tout semble fait pour les empêcher de travailler, constate le descendant du roi Louis-Philippe Ier, dernier roi des Français ( 1830-1848).

À cette faillite s’ajoute un effondrement social. Jean d’Orléans dénonce l’inscription de l’avortement dans la Constitution, la légalisation de la fin de vie, « autant de réformes qui détruisent la verticalité nécessaire à l’homme ». Et pendant que nos paysages sont défigurés par les éoliennes, la France est submergée par une immigration incontrôlée, source d’insécurité et de tensions. Nos campagnes, elles, voient disparaître leurs services publics, ajoute le prétendant.

À l’extérieur, même constat : enlisement dans la guerre contre la Russie, incapacité à apaiser le conflit israélo-palestinien, silence face au martyr des chrétiens d’Orient. La France, jadis puissance équilibrante, n’est plus qu’une spectatrice impuissante, se désole t-il.

 

 

Le choix de la monarchie

Face à ce désastre, Jean d’Orléans ose une proposition radicale : renouer avec la monarchie. Non par nostalgie, mais par raison. « La monarchie ne résoudra pas tout tout de suite, mais elle mettra notre pays sur le bon chemin », assure-t-il. Sa promesse ? La stabilité, la justice et la confiance. Des règles simples, connues de tous, au service de l’intérêt général et non des lobbies. 17% des Français souhaitent actuellement le retour de l'institution royale. Une idée qui transcende les partis politiques, classés majoritairement à droite. 

Dans une France déboussolée, où les institutions républicaines ne convainquent plus, la voix du prince résonne comme une alternative. Un pari audacieux, mais porteur d’espérance. Et de conclure, en citant Victor Hugo, comme pour tendre la main à un peuple en quête de sens : « Car dans l’homme jamais l’espérance n’est vaine ».

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Date de dernière mise à jour : 17/09/2025