« L’homme et l’Océan » est le premier livre qu’il signe de son nom, écrit à la première personne du singulier. Engagé dans la protection des océans et de la faune marine, le prince Albert II de Monaco se place dans les pas de son trisaïeul, le prince-explorateur Albert Ier. Il espère sensibiliser ses contemporains à une cause pour laquelle il se bat depuis des années.
Le prince Albert II de Monaco règne sur une principauté de 202 hectares (2,02 km²). Pourtant son regard est tourné depuis des décennies vers un autre royaume plus vaste, plus riche, vital à notre planète. Engagé dans la protection des océans, le fils du prince Rainier III et de la princesse Grâce a décidé de prendre sa plume et de publier « L’Homme et l’Océan » aux éditions Flammarion – Versilio. Il a eu l’idée de ce livre de 150 pages lors de différentes conversations avec Robert Calcagno, directeur général de l’Institut océanographique et du Musée océanographique de Monaco depuis 2009. Plus qu’une cause à défendre, c’est un véritable sacerdoce qui trouve ses racines dans la politique initiée par le prince Albert Ier (1848-1922). S’il se garde bien de se comparer à son trisaïeul, avant-gardiste pour son époque, il ne cache pas s’en inspirer. « (…) Il a été le pionnier. Il a été tellement visionnaire dans ce qu’il a entrepris, dans les alertes qu’il a lancées, les réflexions qu’il a eues, que certains problèmes sont encore trop d’actualité aujourd’hui, comme la surpêche et la non-protection de certaines zones » rappelle le prince Albert II dans une récente interview accordée à Monaco Matin. La suite est à découvrir sur le site de la Revue Dynastie.
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